Note sur les visuels : si les droits liés à l’expo sont échus, ne restent que des imagettes de faible définition à titre de mémoire, sans agrandissement possible ; celles agrandissables ont obtenu un accord ou sont libres ; en cas d’erreur svp nous en faire part et, suite vérification, le visuel sera retiré ou mis en imagette-mémoire ; merci ! |
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aucun artiste -sinon Bill Viola- aura aussi bien qu’Oscar Muñoz inventé un langage plastique totalement original et parfaitement adapté pour mettre l’image en relation avec la mémoire, la perte et la précarité de la vie : depuis plus de 40 ans, le colombien Oscar Muñoz (prononcez Mugnoz) développe une réflexion sur la capacité de l’image à retenir la mémoire, utilisant photo, gravure, dessin, installation et vidéo. Cette passionnante rétrospective dévoile l’extraordinaire créativité de son expression.
La surprise vient dès l’entrée : cette grande image n’est pas une photo, mais un dessin hyperréaliste au fusain, une de ses premières oeuvres qui révèle son talent :
Vous voici encore mis à contribution par une installation au sol que vous ne pouvez contourner :
Dès les années 90 et jusqu’à présent, Oscar Mugnoz utilise beaucoup la figure humaine dans ses interprétations de l’aléa du cycle de la vie, par des fragments de portraits reconstituant un visage imaginaire, par des dessins rendus périssables par leur procédé (dissous dans de l’eau, projections incertaines...) ; par exemple :
> cette vidéo Re/trato (Portrait/je Réessaie) montre une main qui dessine un visage, mais le médium utilisé (l’eau) et le support (une dalle de ciment en plein soleil) l’en empêche : le pinceau parvient à dessiner une partie du portrait tandis que le reste s’évapore (regardez en haut à droite), obligeant une retouche rapide : on est dans le mythe de Sisyphe condamné à une tâche éternelle
Narcisse, 1995, poussiere de
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Pour traiter ces thèmes de la fragilité et de l’éphémère, Oscar Mugnoz a recours aux éléments fondamentaux, l’eau, l’air et le feu, pour renvoyer aux cycles et manifestations transcendantales de la vie, de l’existence et de la mort.
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> exposition au Jeu de Paume |
cette curieuse exposition virtuelle commentée parle des relations entre l’homme et les animaux
par exemple avec cette oeuvre fantastique de Hugo Weiss par Les Atamanes |
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... sur la Seine, consacré à la photo, celui-là (savez-vous quel autre se consacre au street-art ?) |
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peu connue mais abondante, avec de nombreux artistes de 1er rang au Musée Français de la Carte à Jouer |
la suissesse Thérèse-Agnès Franzoni a peint ce cerisier en fleurs en1890, époque du retour à la nature de particulier à particulier |
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