Note sur les visuels : si les droits liés à l’expo sont échus, ne restent que des imagettes de faible définition à titre de mémoire, sans agrandissement possible ; celles agrandissables ont obtenu un accord ou sont libres ; en cas d’erreur svp nous en faire part et, suite vérification, le visuel sera retiré ou mis en imagette-mémoire ; merci ! |
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l’Exposition des Arts décoratifs et industriels de 1925 illustrait la puissance retrouvée de la France et donnait l’illusion d’une paix universelle ; elle eut une grande influence en Europe, Afrique, Japon, Chine, Australie, Brésil et aux Etats-Unis. L’exposition en cours la retrace, par un large aperçu des domaines où ce style s’est appliqué, pour permettre de mesurer ses retombées internationales.
Le développement populaire de l’Art Nouveau commence à lasser et les mauvaises langues le qualifient de style nouille ou vermicelle ; des artisans et artistes explorent des voies plus dépouillées. Après la Grande Guerre le monde a besoin d’une nouvelle modernité, qui passe par l’aviation, l’automobile et leurs équipements, par des logements et un renouvellement des modes de consommation tenant compte du nouveau rôle de la femme mis en évidence par l’absence des hommes du fait de la Guerre ; la technologie évolue, la vie s’exprime de nouveau : les Années Folles succèdent à la Belle Époque
La femme -de la haute société active- s’occupe de sciences (Marie Curie..), sport (elles sont présentes aux Jeux olympiques en 1924 à Paris), art (Tamara de Lempicka...), littérature (Elsa Triolet...), architecture, mode (Coco Chanel...), design (Charlotte Perriand...). Mais elle vit aussi de manière trépidante : en décoration elle exige des tenues souples qui font le succès de couturiers et décorateurs comme Jean Patou et Paul Poiret ; dans un début de libération (il lui faudra attendre 1944 pour voter...) elle conduit, fume, danse le charleston, se met en vedette :
bouchon de radiateur |
maillot de bain 1920’s |
Emilio Vila, gouache publicitaire
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Walery, Josephine-Baker dans
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Puis les Arts Décoratifs descendent dans la rue, grâce aux grands magasins et petites boutiques : "les bandeaux lumineux donnent une dimension nocturne inconnue à ces nouveaux temples ; le travail de Pierre Patout aux Galeries Lafayette est représentatif de cette évolution, l’Art Déco est signe de modernité avec son sens de la mise en scène, de l’éclairage et du décor" [DP]
Paris devient la capitale intellectuelle de l’Occident, les artistes y affluent notamment américains : Hemingway, Miller, Fitzgerald... et se concentrent à Montmartre et Montparnasse ; la création s’invite partout :
Et l’on ne se prend pas trop au sérieux :
plus d’infos : |
> l’exposition à la Cité de l’architecture & du patrimoine |
cette "Femme surréaliste à l’oiseau" de Alain Virmaux est dans la tradition surréaliste influencée par l’art brut et l’art africain une belle pièce abordable |
à Saint-Etienne l’immense Musée d’Art Moderne réouvre ! |
cette aquarelle post-surréaliste de Janine Zimbler est typique ; une oeuvre délicate d’une artiste inspirée, dont une oeuvre a été achetée par le Centre Pompidou |
le Réalisme fantastique est une expression plus récente du surréalisme
ce Chat Bleu de Raimondo Cardelli (1938-2008) exprime que le rêve serait aussi réel que le quotidien |
tableau en vente chez les Atamanes
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