Note sur les visuels : si les droits liés à l’expo sont échus, ne restent que des imagettes de faible définition à titre de mémoire, sans agrandissement possible ; celles agrandissables ont obtenu un accord ou sont libres ou sont en "fair use" ; en cas d’erreur svp nous en faire part et, suite vérification, le visuel sera retiré ou mis en imagette-mémoire ; merci ! |
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Si le parcours est chronologique, il montre bien les fondements de la modernité de Léonard de Vinci :
maître de la formeà 17 ans Vinci étudie dans l’atelier de Maitre Verrocchio, grand sculpteur du 15e siècle : il y apprend à traduire la forme parfaite et surtout le clair obscur > il développe alors une vision picturale de la sculpture qu’il traduit notamment par des études de draperies démontrant sa technique du clair obscur :
étude Draperie-Saint-Morys,
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une nouvelle modernité > "La Bataille d’Anghiari" (fresque inachevée) est un exemple où Léonard de Vinci recrée le monde
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La Cène (aujourd’hui disparue mais représentée par une copie de 1506) fait la synthèse de son oeuvre ; La Joconde, elle, reste visible dans son écrin habituel Salle de l’Etat (rénovée) mais se présente sous forme virtuelle en sortie de l’exposition.
voir aussi l’analyse de la réalisation d’un de ses plus beau tableau : La Belle Ferronnière.
* : pour illustrer les travaux du C2RMF (Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France), nombre d’imageries scientifiques sont présentées ; malheureusement elles ne sont pas accrochées à proximité des oeuvres de sorte que les comparer est impossible au visiteur ; bien dommage... mais vous pouvez télécharger ici la documentation.
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> l’exposition
au Louvre |
cette curieuse exposition virtuelle commentée parle des relations entre l’homme et les animaux
par exemple avec cette oeuvre fantastique de Hugo Weiss par Les Atamanes |
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... sur la Seine, consacré à la photo, celui-là (savez-vous quel autre se consacre au street-art ?) |
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peu connue mais abondante, avec de nombreux artistes de 1er rang au Musée Français de la Carte à Jouer |
la suissesse Thérèse-Agnès Franzoni a peint ce cerisier en fleurs en1890, époque du retour à la nature de particulier à particulier |
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