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Takashi Murakami présente 22 pièces dont 11 ont été créées pour l’événement et en accord avec la salle où elles sont posées.
Plus encore qu’avec Koons ou Veilhan, cette exposition est une splendeur à la hauteur du lieu ! Car les pièces s’intègrent bien dans les salles et respectent le lieu ; elles sont délicates, précieuses, nuancées dans leurs matières et leurs couleurs ; outre le fait que Murakami est un artiste très précis et familier des matériaux précieux, il est aussi bien conscient de l’enjeu de Versailles : "c’est l’un des plus grands symboles de l’histoire occidentale, emblème d’une ambition d’élégance, de sophistication et d’art".
Papier Peint, 2010, collection particulière |
Une seule pièce est véritablement monumentale, stupéfiante, impressionnante et complexe comme pouvait l’être la parure du Roi Soleil qui domina ainsi ses assemblées... nous ne la reproduisons pas car sa photo (largement diffusée) est incapable de rendre compte de la puissance de sa présence.
Un aspect intéressant est la rencontre des mythologies : "les allégories et autres mythes versaillais dialoguent avec ces créatures oniriques inspirées de l’art traditionnel japonais" [Laurent Lebon, Commissaire].
cette douce et sereine Kaiki (2005), les yeux baissés
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La joie explose dans la Galerie des Glaces (une splendeur restaurée par le Groupe VINCI) :
Le mystère comme les mauvais conseillers hantent les lieux :
Takashi Murakami : "je suis le chat du Cheshire qui accueille Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll, avec son sourire diabolique" (ce chat capable d’apparaître et disparaître à volonté, ne laissant que son sourire ambigu).
ces sourires de Jellyfish Eyes (2004) ne sont pas très rassurants, |
La Salle des Gardes abrite, entre autres, cette magnifique Summer Vacation in the Kingdom of the Golden (2008, coll. part) et une moquette créée pour elle, formant un ensemble parfait :
plus d’infos :
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> le site de Takashi Murakami > celui du Château de Versailles > Takashi Murakami est représenté par la galerie Perrotin à Paris |
c’est le seul en hiver, juste avant les fêtes des artistes contemporains au Réfectoire des Cordeliers, Paris 6e |
cette "Femme surréaliste à l’oiseau" de Alain Virmaux est dans la tradition surréaliste influencée par l’art brut et l’art africain une belle pièce abordable |
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le surréalisme si bien expliqué au Centre Pompidou voit un énorme succès, à ne pas manquer mise en jambe ou visite préalable |
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