Cette page s’appuye sur l’exposition sur Marcel Duchamp au Centre Pompidou, fin 2014. Elle est titrée "Marcel Duchamp La Peinture même" car au départ il est peintre, le "même" se réfèrant à son grand oeuvre "Le Grand Verre" ou "La mariée mise à nu par ses célibataires, même" (image et explications), commencé en 1910 et déclaré inachevé par l’artiste en 1923. S’arrêtant pratiquement en 1915 l’exposition invite à suivre la progression mentale et picturale vers ce Grand Verre en mettant l’accent sur les étapes intermédiaires essentielles Le Grand Verre (image réduite en
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une des étapes de la progression vers le Grand Verre est le fameux Nu descendant l’escalier ; le contexte de l’époque s’y prêtait particulièrement :
en 1910 Marcel Duchamp est donc peintre (souvent assez moyen) ; confronté aux styles de ses collègues maintenant célèbres (les fauves, etc), il s’intéresse au symbolisme, puis au cubisme, puis au futurisme ; chaque fois il fait ses propres recherches pour comprendre la perception optique et sa représentation.
Très vite il dépasse tous ses collègues en inventant une expression tournée vers le mélange du mécanique et de l’organique, frisant le surréalisme (avant l’heure) et l’ésotérisme dont le Grand Verre est le summum ; à ce stade il n’est plus question de peinture au sens habituel
ce Nu est le marqueur du Duchamp d’avant la grande guerre (d’ailleurs voyez comme elle est vénérée(à gauche). Quand, comment est-elle venue ? assez vite puisque l’ensemble du processus qui y mène a pris moins de 2 ans ; quant à la démarche de recherche :
> elle part d’une timide mais ravissante interprétation du cubisme par ce "A propos de jeune soeur", 1911, qui ne tente pas encore de représenter les faces cachées (le droit aux images nous empêche de vous montrer certaines oeuvres)
> une peinture annonce une suite déterminante : le Jeune homme triste dans un train (l’image réelle est moins sombre), 1911-12, qui aborde le mouvement différemment.
Mais là encore, le résultat est partiel : c’est le train qui bouge, l’homme semble endormi, du coup le tableau manque de dynamisme...
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> il n’explique plus rien sur la 2è version -1912, la vraie- où même l’arrière-plan disparaît presque ; le gros plan est porté sur la mécanique du sujet ; sans les préparations antérieures, on aurait du mal à comprendre immédiatement ce tableau, s’il n’était si célèbre ! << le Nu descendant l’escalier, 1912, en version finale : > une troisième version (à droite) a été récemment découverte dans le Château de Moulinsart, mais elle n’est pas encore certifiée !
Marcel Duchamp, Nu descendant l’escalier, 1912, 146x89
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