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à la Cité de la Mode et du Design (Les Docks) l’exposition Erwin Blumenfeld (1897-1969) rappelle le cheminement artistique d’un génie, sa constante soif d’exploration et sa recherche d’une identité par la photographie couleur qui influence l’Amérique dans les années 40 et 50
Erwin Blumenfeld a été déjà exposé deux fois à Paris : en 1998 à la MEP (sous le juste titre "Le culte de la beauté") et en 2013 au Jeu de Paume ; mais vous ne vous lasserez pas de voir et revoir ses travaux précurseurs, car c’est un génie qui a marqué la photographie
"Je décidai de faire entrer la culture en contrebande dans ma nouvelle patrie, pour la remercier de m’accueillir" explique-t-il tardivement [ye to I : The Autobiography of a Photographer, Thames & Hudson, 1999], d’où le sous-titre de l’exposition : L’art en Contrebande ; contrebandier car il a trouvé le moyen de vivre de sa pratique utilitaire (en trois ans après son arrivée il devient le plus célèbre et le mieux payé de sa profession !) en gardant son esprit ouvert à la pratique artistique ; en quelque sorte il a été son propre mécène.
La photo ci-dessous exprime bien la double face de son art : d’une part une mise en exergue des particularités de chaque vêtement (ce qui lui est demandé), d’autre part un jeu esthétique indépendant traduit ici par les silhouettes manipulées et la déclinaison chromatique :
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> l’exposition aux Docks |
cette curieuse exposition virtuelle commentée parle des relations entre l’homme et les animaux
par exemple avec cette oeuvre fantastique de Hugo Weiss par Les Atamanes |
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... sur la Seine, consacré à la photo, celui-là (savez-vous quel autre se consacre au street-art ?) |
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peu connue mais abondante, avec de nombreux artistes de 1er rang au Musée Français de la Carte à Jouer |
la suissesse Thérèse-Agnès Franzoni a peint ce cerisier en fleurs en1890, époque du retour à la nature de particulier à particulier |
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