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dans la rue devant les gens éberlués, une jeune femme en noir marche pieds nus, péniblement, traînant derrière elle de lourds brodequins attachés à ses chevilles par leurs lacets, gênant chaque pas. Elle serait nordique, les gens riraient de cette folle à côté de ses pompes… mais la femme semble être du sud de la Méditerranée, elle peine, son visage est concentré : cette vidéo frappante, date de 1985 et donne le ton de toute l’exposition de Mona Hatoum au Centre Pompidou
Mona Hatoum, Roadworks, 1985
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Mona Hatoum utilise aussi son corps, notamment ses cheveux, symbole de féminité, qu’elle conserve patiemment comme matière à tisser
> ici elle explore son corps par une technique d’endoscopie : la caméra qui envahit le corps, en transgresse les limites en montrant l’intérieur en gros plan ; impressionnante métaphore du contrôle étatique qu’elle découvre en occident
Mona Hatoum, Corps étranger, 1994
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Dans cette quête de dénonciation, Mona Hatoum introduit des perceptions contradictoires : l’attraction et la séduction, l’agressivité et la répulsion, ces dualités sont particulièrement exprimées par un pénétrable du type Soto mais composé de… barbelés.
Cette amazone hyper-sensible est aussi douée d’une formidable imagination créative, capable d’utiliser toutes sortes de médiums artistiques, ce qui rend l’exposition spectaculaire voire même ludique par quelques traits d’humour (corrosif).
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> l’exposition Mona Hatoum au Centre Pompidou |
cette curieuse exposition virtuelle commentée parle des relations entre l’homme et les animaux
par exemple avec cette oeuvre fantastique de Hugo Weiss par Les Atamanes |
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... sur la Seine, consacré à la photo, celui-là (savez-vous quel autre se consacre au street-art ?) |
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peu connue mais abondante, avec de nombreux artistes de 1er rang au Musée Français de la Carte à Jouer |
la suissesse Thérèse-Agnès Franzoni a peint ce cerisier en fleurs en1890, époque du retour à la nature de particulier à particulier |
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